The coronavirus pandemic resulted in an unprecedented management issue for Canada’s many and diverse parks and protected areas agencies, including outright closures at the beginning of the pandemic, to significant restrictions and mitigation actions that remain in place to this day to protect the health and safety of the many millions of people who visit these areas annually (Hockings et al., 2020). On the one hand, the use of these spaces by large numbers of people may increase the risk of the virus spreading among the population (Freeman & Eykelbosh, 2020). On the other, these closures restrict access to important spaces that provide for healthy outdoor activities and associated stress relief, and prevent people from receiving the many health and well-being benefits that these areas provide. There is also some evidence to indicate that such closures result in individuals attempting to access more congested and risky spaces (Freeman & Eykelbosh, 2020). Indeed, the coronavirus pandemic has resulted in a number of unprecedented challenges for both visitors to parks, and those responsible for their planning and management. In light of these novel challenges, the objectives of this research are to better understand park agency response to COVID-19 and how social media is used as a communication tool related to the pandemic by park agencies. In addition, there is an opportunity to make recommendations about parks and protected areas in general.
ABSTRACT
La pandémie de coronavirus a entraîné un problème de gestion sans précédent pour les nombreux et divers parcs et agences de zones protégées du Canada, y compris la fermeture pure et simple au début de la pandémie, à des restrictions importantes et des mesures d’atténuation qui restent en place à ce jour pour protéger la santé et la sécurité des millions de personnes qui visitent ces zones chaque année (Hockings et al., 2020). D’une part, l’utilisation de ces espaces par un grand nombre de personnes peut augmenter le risque de propagation du virus au sein de la population (Freeman & Eykelbosh, 2020). D’autre part, ces fermetures limitent l’accès à des espaces importants qui permettent de pratiquer des activités de plein air saines et de soulager le stress qui y est associé, et empêchent les gens de bénéficier des nombreux avantages que ces espaces offrent en matière de santé et de bien-être. Certaines données indiquent également que ces fermetures amènent les personnes à tenter d’accéder à des espaces plus encombrés et plus risqués (Freeman & Eykelbosh, 2020). En effet, la pandémie de coronavirus a entraîné un certain nombre de défis sans précédent pour les visiteurs des parcs et pour les responsables de leur planification et de leur gestion. À la lumière de ces nouveaux défis, les objectifs de cette recherche sont de mieux comprendre la réponse des agences des parcs à COVID-19 et la manière dont les médias sociaux sont utilisés comme outil de communication lié à la pandémie par les agences des parcs. En outre, il est possible de formuler des recommandations sur les parcs et les zones protégées en général.
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The following was an ePoster/eMedia submission to the March 9-12, 2021 Virtual Research Summit by Mu He with the University of Alberta. Click on the images below to view.
Voici une présentation ePoster/eMedia au Sommet de Recherche Virtuel du 9 au 12 mars 2021 par Mu He avec l’Université d’Alberta. Cliquez sur les images ci-dessous pour les visualiser.
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ABSTRACT
(Lisez la version française ci-dessous.)
Many tourism settings today, such as parks, zoos, or aquarium, play a key role in supporting conservation. They provide millions of visitors with tremendous opportunities to appreciate, enjoy and learn about nature. At the same time, they also employ a wide range of communication interventions to encourage visitors’ pro-environmental behaviour. These interventions include personal communication (e.g., personal interpretation) or non-personal communication (e.g., on-site interpretive signs, brochures, exhibits). In addition, advances in technology have brought some new platforms to facilitate communication between parks and visitors, such as social media, mobile apps, or email messaging. A number of research studies have explored the effectiveness of these interventions to promote pro-environmental behaviour. In this ePoster, we summarize the findings of these environmental communications studies, with a specific focus on adult visitors and their families. Specially, we answer two research questions: (1) What common approaches have been used to assess the outcomes of environmental communication interventions? (2) What communication interventions have been most effective for specific environmental issues (e.g., wildlife watching behavior, responsible hiking behavior)? In order to address our research questions, we conducted a systematic review to ensure a rigorous identification of all available empirical studies. For this systematic review, we conducted searches in the following databases: Academic Search Complete, Environment complete, Hospitality and Tourism Complete, Leisure Tourism, PsycINFO, Scopus, Web of Science, Communication & Mass Media Complete and Education Multi-Database Search (ProQuest). Search parameters included peer-reviewed journal articles published in English between 2000 to 2020. All databases together provided 2832 results, and we then removed over 1500 duplicate results. After co-assessment by three readers, 39 articles were selected to include in the systematic review. Selected articles met the following criteria: (1) empirical studies conducted in tourism settings; (2) post-visit measurement was conducted; (3) behaviour-related outcomes were measured: behavioural intentions and actual behaviour. Findings will be summarized in our ePoster. We currently have several findings related to our first research question, and we will present more findings in the ePoster. (1) Quantitative research methods (i.e., survey and experimental design) are the main approach employed to measure behavioural outcomes in current studies. No studies explored the process or experience of visitors’ behavioural change. We highlight the necessity of qualitative research and mixed-method research in the ePoster session. (2) Some studies have tried to understand long-term behaviours using follow-up surveys several months after the visit or encouraging respondents to regularly report their pro-environmental behaviour through webpages. However, attrition rates tend to be very high. We will discuss the possibility of other tools such as mobile apps to encourage the completion of study participation.
ABSTRACT
De nos jours, de nombreux lieux touristiques, tels que les parcs, les zoos ou les aquariums, jouent un rôle clé dans le soutien à la conservation. Ils offrent à des millions de visiteurs de formidables occasions d’apprécier la nature, d’en profiter et de s’informer sur elle. En même temps, ils utilisent également un large éventail d’interventions de communication pour encourager le comportement pro-environnemental des visiteurs. Ces interventions comprennent la communication personnelle (par exemple, l’interprétation personnelle) ou la communication non personnelle (par exemple, les panneaux d’interprétation sur place, les brochures, les expositions). En outre, les progrès technologiques ont apporté de nouvelles plates-formes pour faciliter la communication entre les parcs et les visiteurs, comme les médias sociaux, les applications mobiles ou la messagerie électronique. Un certain nombre d’études de recherche ont examiné l’efficacité de ces interventions pour promouvoir un comportement pro-environnemental. Dans cette ePoster, nous résumons les résultats de ces études sur la communication environnementale, en mettant l’accent sur les visiteurs adultes et leurs familles. Nous répondons en particulier à deux questions de recherche : (1) Quelles approches communes ont été utilisées pour évaluer les résultats des interventions en matière de communication environnementale ? (2) Quelles interventions de communication ont été les plus efficaces pour des questions environnementales spécifiques (par exemple, comportement d’observation de la faune, comportement de randonnée responsable) ? Afin de répondre à nos questions de recherche, nous avons procédé à un examen systématique pour assurer une identification rigoureuse de toutes les études empiriques disponibles. Pour cet examen systématique, nous avons effectué des recherches dans les bases de données suivantes : Academic Search Complete, Environment complete, Hospitality and Tourism Complete, Leisure Tourism, PsycINFO, Scopus, Web of Science, Communication & Mass Media Complete et Education Multi-Database Search (ProQuest). Les paramètres de recherche comprennent les articles de revues à comité de lecture publiés en anglais entre 2000 et 2020. L’ensemble des bases de données a fourni 2832 résultats, et nous avons ensuite supprimé plus de 1500 résultats en double. Après une co-évaluation par trois lecteurs, 39 articles ont été sélectionnés pour être inclus dans la revue systématique. Les articles sélectionnés répondaient aux critères suivants : (1) études empiriques menées dans le cadre du tourisme ; (2) mesures effectuées après la visite ; (3) résultats liés au comportement : intentions comportementales et comportement réel. Les résultats seront résumés dans notre ePoster. Nous disposons actuellement de plusieurs résultats liés à notre première question de recherche, et nous présenterons d’autres résultats dans l’ePoster. (1) Les méthodes de recherche quantitatives (c’est-à-dire les enquêtes et la conception expérimentale) sont la principale approche utilisée pour mesurer les résultats comportementaux dans les études actuelles. Aucune étude n’a exploré le processus ou l’expérience du changement de comportement des visiteurs. Nous soulignons la nécessité d’une recherche qualitative et d’une recherche à méthode mixte dans la session ePoster. (2) Certaines études ont tenté de comprendre les comportements à long terme en utilisant des enquêtes de suivi plusieurs mois après la visite ou en encourageant les répondants à signaler régulièrement leur comportement pro-environnemental par le biais de pages web. Toutefois, les taux d’attrition ont tendance à être très élevés. Nous discuterons de la possibilité d’utiliser d’autres outils tels que des applications mobiles pour encourager la participation à l’étude.
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